Journée pro : Comment aborder les traumatismes mémoriels auprès du jeune public ?

En partenariat avec l'OARA

« Écrire pour la jeunesse, c’est inventer des dramaturgies qui se laissent désirer. A toi de faire l’effort de la comprendre, car cet effort, il sera récompensé par le plaisir de voir la lumière là où les autres ne distinguent que des ombres. Il faut du courage pour faire craquer les os du silence. »
Sylvain Levey, avant propos de la pièce « Une abeille d’Arménie » de Lancelot Hamelin

Les drames de l’Histoire provoquent la nécessité d’entretenir la mémoire et de la transmettre aux nouvelles générations. La création contemporaine s’attache à mettre en scène ces épisodes tragiques et lorsqu’il s’agit d’une adresse à la jeunesse, vers des spectateurs en construction encore épargnés des grandes violences des siècles précédents, l’exercice de transmission se révèle plus complexe. Afin d’évoquer la question de la transmission des traumatismes mémoriels dans la création en direction du Jeune Public, le Théâtre de Gascogne et l’OARA s’associent pour proposer une journée professionnelle à destination des acteurs du spectacle vivant et de l’éducation, directeurs de lieux de diffusion, metteurs en scène, artistes, éducateurs, enseignants, programmateurs...

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En présence de :

• Dalila Boitaud,

  autrice, metteuse en scène de la pièce « Tout dépend du nombre de vaches » et directrice de la compagnie Uz et Coutumes

• Aurélia Bartolomé,

  metteuse en scène de la pièce « les enfants font aussi la guerre » de Jean-Manuel Florensa, co-directrice du Théâtre des Lumières

• Pinar Selek,

  sociologue et écrivaine

• Laurence Vézirian,

  médiatrice au centre du patrimoine arménien de Valence

• Aurélie Armellini et Miren Lassus-Olasagasti,

  médiatrices de l'association Les Araignées Philosophes