Marina Dédéyan
Dédicaces d'auteurs
De cet héritage, Marina Dédéyan a sans doute tiré en grande partie sa vocation de romancière. Le souffle de ses ouvrages ainsi que leur qualité historique ont conquis un lectorat fidèle.
D’origine arménienne et russe, Marina Dédéyan a été élevée au sein d’une famille quelque peu bousculée par l’Histoire et nourrie d’histoires.
Ses ancêtres, amoureux de la littérature française, ont fondé au milieu du XIXe siècle une maison d’édition à Smyrne pour traduire et faire connaître aux Arméniens les chefs d’œuvre de Victor Hugo, Dumas, Lamartine, Chateaubriand et autres grands écrivains, contribuant ainsi à la création d’un arménien littéraire.
De cet héritage, Marina Dédéyan a sans doute tiré en grande partie sa vocation de romancière. Le souffle de ses ouvrages ainsi que leur qualité historique ont conquis un lectorat fidèle.
Moi, Constance, princesse d’Antioche – Stock
1130. Au cœur de l'hiver, le destin de Constance, la jeune princesse d'Antioche, petite-fille du roi Baudouin II de Jérusalem et de la reine arménienne Morfia, bascule lorsque son père, tombé dans une embuscade, est décapité par les Sarrasins. Maltraitée par sa mère, elle grandit, solitaire, à l'écart de cette couronne dont elle est l'héritière jusqu'au jour où elle est donnée en mariage à un chevalier poitevin d'un quart de siècle son aîné, Raymond de Poitiers. Elle a tout juste neuf ans. Au milieu des terribles luttes qui déchirent le Moyen-Orient - offensives turques, revendications byzantines, ambitions du roi de Jérusalem - que pèse le bonheur d'une enfant ? Mais le cœur se joue parfois des intrigues des puissants, amis ou ennemis. Racontée par Constance elle-même, une étonnante histoire d'amour qui nous plonge dans l'univers des Croisades.
De Tempête et d’espoir – Saint-Malo et Pondichéry – J’ai Lu
A l’automne 1761, Anne de Montfort, orpheline bretonne désargentée, apprend la disparition de son frère Jean, sa seule famille, quelque part aux Indes, dans la guerre qui oppose la France à l’Angleterre.
Avec l’aide de son cousin René-Auguste de Chateaubriand, armateur respecté parmi les messieurs de Saint-Malo, elle met tout œuvre pour gagner Pondichéry.
Là-bas, elle est accueillie par des négociants arméniens qui mettent leur puissant réseau à son service, afin qu’elle puisse poursuivre sa quête à travers ces terres immenses.
Là où le crépuscule s’unit à l’aube – Robert Laffont
Dans cette fresque russe, Marina Dédéyan explore la mémoire familiale pour retracer l’histoire de ses arrière-grands-parents au tournant du XXe siècle, entre grandeur d’avant-guerre et tourmente révolutionnaire. Figures de la bonne société germano-russe, ses aïeuls ont croisé les pas de nombreuses personnalités de leur époque, Lou Andreas-Salomé, Eugène Fabergé, Emanuel Nobel, Vaslav Nijinski et bien d’autres encore.
En ressuscitant le passé, la romancière livre ses découvertes et ses interrogations au travers d’anecdotes troublantes qui ont ponctué sa quête.
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