Avec
Tigran Hamasyan (piano, claviers et chant),
Evan Marien (basse)
et Arthur Hnatek (batterie)
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Ladaniva est un groupe multiculturel fondé fin 2019 par la chanteuse arménienne Jacqueline Baghdasaryan et le multi-instrumentiste français Louis Thomas. Résolument dansant, le groupe Ladaniva marie des touches fraîches de folk arménienne avec des mélodies et rythmes traditionnels d’ailleurs (maloya, reggae, balkaniques, africains, arabes…) pour créer une musique moderne et dynamique tout en étant emprunte d’histoire et de tradition. Du chant, des percussions, de la guitare et de la trompette, le résultat de cette décoction est un cocktail festif, dansant, irrésistible.
Ladaniva a un parcours atypique. Ils sont célèbres d’abord grâce à leurs clips, le premier Vay Aman, qui a accumulé 9 millions de vues, puis par des lives filmés pour les radios ou les festivals condamnés au numérique. Le groupe est né juste avant le premier confinement, ils ont donc construit leur image avant de connaître la scène en 2021.
Ladaniva est un charmant concentré de fraîcheur et de joie de vivre, ce soleil qui nous manque tant.
« Ladaniva, le duo franco-arménien qui réinvente la pop des Balkans » Culture France
"Un bijou visuel et musical" France 3
"Un duo ensoleillé du plus bel effet" Le Figaro
Si tu veux vivre, avance (éditions du Hanneton) est un ouvrage sur la parole des anciens, souvent restés silencieux leur vie durant pour tenir muettes leurs souffrances, mais aussi celles de leurs familles et d'un peuple mutilés.
“ (...) les ”bas quartiers" furent notre chance, tous entassés, tous mélangés, compagnons de misère ou d’exil, tous français tellement tous ces cœurs-là venus d’ailleurs italiens, espagnols, gitans, grecs ou polonais…"
Poète, autrice, Monique Domergue a également publié Le siècle s'effondre, Ce qu'à d'autres (éditions Jacques Brémond).
Avec : Monique Domergue (voix), Jules Thévenot (guitare)
Comme une vague sonore et cinématique en perpétuelle mutation, The Call Within embarque dans un voyage aux frontières du jazz, du rock et des musiques arméniennes. une musique vibrante et volcanique.
Vibrant et volcanique, la musique de Tigran Hamasyan est imprégnée de jazz, rock, métal et des musiques traditionnelles arméniennes.Polyrythmies, mesures impaires et tempos haletants alternent avec des phases plus apaisées, poétiques, éthérées. En trio,le projet The Call Within est le plus intense de tout le répertoire de Tigran Hamasyan.
D’après son auteur, il marque la fin d’un cycle de création qui a duré quinze ans - soit près de la moitié de sa vie. L’album s’inspire de tous les centres d’intérêt de l’artiste, de la cartographie aux mondes imaginaires en passant par la poésie, l’astrologie, le design ou les légendes populaires…
En contrepoint de cette musique épique, la voix de Tigran s’élève régulièrement, délicate et légère, dans un chant sans paroles qui souligne les harmonies. C’est d’une virtuosité exceptionnelle, de celles qui nous hypnotisent et nous font du bien.
Tigran Hamasyan (piano, claviers et chant),
Evan Marien (basse)
et Arthur Hnatek (batterie)
Corinne Zarzavatdjian, auteure et comédienne d’origine arménienne, consacre un spectacle enjoué sur ce nom qui lui a valu bien des déboires. Zarzavatdjian, un nom à coucher dehors !, est aussi un hommage à sa famille miraculée d’Arménie qui a façonné son avenir. C’est un nom que la comédienne élève comme un héritage inaliénable dans ce spectacle d’une force et d’une pureté bouleversante.
Si l’histoire des Zarzavatdjian évoque en filigrane celle d’un peuple opprimé et d’une culture apatride, elle nous parle surtout d’un patronyme et de son héritage. Loin d’être un spectacle communautaire, Zarzavatdjian, un nom à coucher dehors ! est la drôle et brillante revue d’une vie et de ses remous émotionnels. Elle réussit la prouesse de relier son histoire à la nôtre et touche à l’intime : à nos joies et douleurs d’enfance, nos racines et notre propre héritage culturel et familial.
Corinne Zarzavatdjian
Mise en scène de Thierry Beccaro
Héritière d’une tradition populaire et rurale, la danse est une composante indissociable de la culture arménienne. Elle appartient au génie artistique ancestral des Arméniens dont la transmission s’est effectuée à travers les siècles pour s’épanouir aujourd’hui, hors des frontières de l’Arménie. La Compagnie de danse Yeraz, créée en 2000 à Alfortville, a pour directrice artistique la chorégraphe Christina Galstian-Agoudjian. La démarche artistique de la Compagnie est fondée sur une double exigence : préserver et transmettre le riche répertoire de la danse arménienne, tout en laissant une large place à la création originale.
Pour ce spectacle, la chorégraphe a puisé son inspiration au plus profond de son vécu et de ses souvenirs. C’est à travers l’un des symboles les plus puissants de la terre d’Arménie qu’elle nous invite à revivre le quotidien d’un peuple sous le regard bienveillant des montagnes de la terre des arméniens. A travers une tradition ancestrale de danses ponctuant les joies et les peines, elle nous offre un hymne à la vie. Dans ce nouveau spectacle, les mouvements sont épurés, les rythmes et les sons se mélangent faisant jaillir des émotions entraînant le spectateur vers un voyage intérieur puissant. Plus de 60 danseurs apportent leur talent à ces danses où chaque mouvement et chaque son nous transforment en relais vivant d’une culture.
A l’occasion du festival, l’OPPB concoit un programme unique pour l’évènement. Impossible de parler de musique arménienne sans célébrer Aram Khatchatourian, compositeur soviétique arménien aujourd’hui reconnu mondialement. Pour l’occasion, l’Orchestre invite Astrig Sirannossian, violoncelliste émérite, pour le concerto pour violoncelle en mi, œuvre rarement jouée.
En deuxième partie, « Voyage en Arménie », présentera des arrangements originaux de Cyrille Lehn autour de musiques populaires avec deux solistes invités : Astrig Siranossian (violoncelle) et Narek Kazazyan (kanun).
Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires de musique de chambre ne sont pas moins que Simon Rattle, Antonio Pappano, Yo-Yo Ma, Sol Gabetta, Bertrand Chamayou ou Daniel Ottensamer.
Astrig Siranossian a débuté la musique à l’âge de trois ans. Admise cinq ans plus tard au C.N.R. de Lyon, elle poursuit ses études au C.N.S.M. de Lyon, obtenant à dix-huit ans son diplôme d’études supérieures avec les félicitations du jury. C’est en Suisse, au Conservatoire supérieur de Bâle, qu’elle achève sa formation dans la classe d’Ivan Monighetti, réussissant avec les plus hautes distinctions son master concert et son master soliste.
Astrig joue un violoncelle Ruggieri de 1676, généreusement prêté par la Fondation Boubo Music de Binningen.
Musicien dès son plus jeune âge, Narek Kazazyan connaît un succès fulgurant et des tournées mondiales (Chine, France, Royaume Uni, Russie, Israel, Suisse,…). Lauréat de nombreux prix, il reçoit en 2010 le « Prix spécial » et le titre des « Jeunes Virtuos » aux National Music Awards.
Narek Kazazyan est aujourd’hui reconnu comme l’un des spécialistes du Kanun, instrument traditionnel d’Arménie et d’Asie du Sud-Ouest. De la famille de la harpe et des cithares sur table, le kanun est un instrument à cordes pincées dont on trouve l’origine dès le Xe siecle notamment dans les contes des Milles et une nuits.
« Dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qui s’est passé. » Groucho Marx
Un homme d’âge mûr dialogue avec l’enfant qu’il était. Ils s’observent. Le temps qui les sépare, c’est la deuxième moitié du 20e siècle, le type qui parle c’est Serge Avedikian. Sa Confession publique dépeint un homme de notre temps pris dans le courant de l’histoire, révélant des pans entiers de son passé, dressant les portraits de personnages disparus et hauts en couleurs. Il décrit ses parents quittant Marseille dans l’après-guerre sur un bateau de fortune pour rejoindre Erevan en Arménie soviétique... Scène épique, atmosphère fellinienne. Et c’est le début d’une suite d’aventures picaresques, tantôt drôles, tantôt émouvantes, souvent les deux à la fois. Mais cette confession révèle aussi l’intime, les sentiments d’un jeune garçon curieux qui découvre le monde dans sa diversité et qui deviendra comédien. Fasciné par les secrets de sa mère, à la recherche de l’image de son père, il est sa vie durant hanté par le spectre... d’Hamlet.
« J’ai été passionné à la lecture de ce monologue, et nous avons décidé de le monter. Ce ne sera pas ma première collaboration avec Serge, l’acteur, capable de jouer sur tous les registres réclamés par le texte, et notamment celui de la comédie. » Pierre Pradinas
Spectacle accueilli en résidence au Théâtre de Gascogne du 22 au 28 mars 2022.
RéserverDuo récital violoncelle voix par Astrig Siranossian et Hovnatan Avédikian
D’après les « Quarante jours de Musa Dagh » de Franz Werfel
Le célèbre écrivain Franz Werfel, dans l’entre-deux guerres, lui rendit hommage dans son roman phare « Les 40 jours du Musa Dagh ». Il décrit l’action de Lepsius, notamment en racontant sa rencontre avec le tyran Enver Pacha pour endiguer les déportations, ses prises de risques vertigineuses et son courage inestimable... Franz Werfel, nous parle du génocide des arméniens avec une clarté et une précision historique rares. Il nous donne à entendre la parole des bourreaux comme celle des alliés, celle aussi des autres minorités rejetées et nous permet de porter un regard autre qu’émotionnel sur ce grand crime, qui résonne toujours aussi fort. Ses écrits annonçaient la Shoah... dès leurs parutions en 1932 ils furent interdit par Hitler et détruit dans plusieurs autodafés.
Astrig Siranossian et Hovnatan Avédikian
Au fil des souvenirs et des rencontres, elle questionne les tabous de la société turque contemporaine à travers un récit tantôt poétique, tantôt militant. Au-delà de la question arménienne, c’est le témoignage sensible et autocritique de l’auteure, qui partage ses doutes et interroge notre rapport à l’Histoire et notre responsabilité vis-à-vis de celle-ci.
Sur scène, deux comédiennes-musiciennes prendront la parole pour raconter le combat et l’espoir de cette femme. Une parole à deux voix, tantôt parlée, tantôt chantée. Portée par les accents envoûtants de musiques traditionnelles turques et arméniennes. Au-delà de son histoire, c’est un témoignage puissant et humaniste, dont les mots résonnent dans nos sociétés où les minorités doivent encore trop souvent vivre dans l’ombre.
Représentation scolaire : 10 h
RéserverSelon l’approche du groupe, les fondements et la structure traditionnelle de ces chants sont entièrement sauvegardés. Un programme inédit sera proposé au Théâtre de Gascogne, puisque ce sera l’occasion d’écouter des chansons de Komitas, Tigranakert, Hamshen, Sassoun et Van, jamais interprétées auparavant. Le message du groupe est clair, il souhaite transmettre au public : « un voyage à travers nos racines et notre pays ».
Colors of music se produira pour la première fois en France
Les textes mis en voix sont issus d’œuvres littéraires et permettent de (re)découvrir la plume d’auteurs plus ou moins connus et sont accompagnés d’un musicien permettant de sensibiliser le public à l’univers musical du pays à l’honneur.
Ces Apéritif Lectures propices à la convivialité se font autour d’un verre offert pour cette soirée sous le signe de l’Arménie.
Deux conteurs vous invitent à voyager vers l'Arménie à travers des contes populaires et histoires magiques qui vous conduisent sur les routes arméniennes, au croisement des légendes et des mythes, tout en faisant découvrir l’âme de ce magnifique pays.
Lire la suitePour son troisième album ambitieux au titre coltranien, Joy Ascension, Macha Gharibian assume sa posture de pianiste, chanteuse, auteure, compositrice, arrangeuse, réalisatrice et leader. Autour d’elle, deux coloristes qui manient les notes comme de la gouache, le batteur Dré Pallemaerts et le contrebassiste Chris Jennings, plus deux invités, Bert Joris à la trompette et Artyom Minasyan et son doudouk.
La voix volcanique de Macha Gharibian la fait entrer dans la famille des vocalistes solaires et habitées, ce club très fermé qui va de Nina Simone à Mélissa Laveaux. Album d’une femme libre et d’une artiste de son époque, Joy Ascension est un disque précieux qui vient réveiller nos sens.
« Un troisième album en trio qui la révèle lumineuse comme jamais, en femme monde imprévisible » (ffff) Télérama
Révélation aux Victoires du jazz 2020
Macha Gharibian (piano et chant),
Chris Jennings (contrebasse)
© Olivier Lestoquoit
Produit par le caféMusic’ avec le Théâtre de Gascogne
RéserverEnsemble composé de musiciens de cultures arménienne, turque, française et américaine, les membres du collectif puisent dans leurs traditions respectives ainsi que dans celles de cultures avoisinantes. Ils offrent sur scène le fruit d’un croisement entre instruments tempérés et musiques de tradition modale, entre percussions du Moyen-Orient et voix inspirées autant des musiques populaires de Méditerranée ou d’Asie Mineure, du rabiz caucasien et des chants de Thrace, que de musiques latino-américaines, du hip-hop, du swing, du bluegrass… Avec l'album O le collectif invite à traverser autant de sonorités et de rythmes que de questionnements sur l’autre et sur soi. Une musique multidimensionnelle, des chants d’amour, de justice et d’égalité, et une énergie explosive !
Lire la suiteElâ Nuroglu, Marius Pibarot, Vahan Kerovpyan, Shushan Kerovpyan et Ezgi Sevgi Can
Ce concert dansant se tiendra à l’occasion d’un kef arménien proposé par le traiteur La Petite Arménie et le Conseil Citoyen.
RéserverInspirés par les airs traditionnels d’Arménie, de Grèce, de Turquie, les Papiers d’Arménies sillonnent ces chemins qui, d’Orient en Occident, ont inspiré bon nombre de poètes, de peintres, d’écrivains. Des faubourgs d’Istanbul aux tavernes du Pirée, on vibre au son du bouzouki et du rembétiko, cette musique des quartiers pauvres peuplés aussi d’arméniens arrivés par bateau dans les années 1920. Ce blues des bas-fonds où voyous et rébéts déchirés par l’exil vantent les bienfaits de l’alcool, du haschisch, et chantent la détresse ou l’amour déchu en paroles empreintes de bonheur triste. Au souffle saisissant du doudouk se joint le son déchirant du kamantcha, on passe du rire aux larmes, pour qu’enfin l’accordéon ranime la fête et console les âmes en peine. Désertant les frontières, là où Papiers d’Arménies réinvente son Arménie, jaillit une musique profonde, empreinte d’histoires, de visages, de cuisine à la saveur épicée, de ces moments de fête jusqu’au petit matin...
Papiers d’Arménies raconte cette Arménie, vivante et plurielle. Et de la musique partagée, de l’envie de caresser les âmes, ne reste qu’un sentiment, celui d’être bien vivant. Désertant les frontières, Papiers d’Arménies façonne l’Arménie à son image !