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DÉDICACES d'auteurs

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couverture de l'évènement

crédit photo : © DR

Gérard Dédéyan

Dédicaces d'auteurs

Gérard Dédéyan, né le 4 février 1942 à Nantes, est un historien français, professeur d'histoire médiévale à l'université Paul-Valéry Montpellier 3, membre de l'Académie nationale des sciences de la République d'Arménie et membre associé du Collège de France.

On reconnaît le professeur d'histoire, en Gérard Dédeyan, à son souci de l'explication, de la clarté, de l'expression juste, si bien que ses phrases ont cette sage lenteur que donne la recherche d'un langage élaboré et contrôlé dans ses moindres détails. Ce n'est là qu'un aspect, peut-être caricatural, de l'homme que j'ai devant moi, enjoué ou sérieux selon le sujet, toujours courtois, disposé à m'ouvrir les chemins de son histoire. L'histoire qui lui est sienne : né en 1942 à Nantes, fils du professeur et critique littéraire Charles Dédéyan, lui-même professeur d'histoire de l'orient ancien à l'université Paul Valéry de Montpellier.

Histoire du peuple arménien
Jusqu’au XIVe siècle, dans la région montagneuse à laquelle ils ont donné leur nom et en Cilicie, leur deuxième foyer, les Arméniens se sont acharnés à défendre leur liberté contre leurs adversaires venus de l’est et de l’ouest. Privés d’état (mais non d’autonomies locales) pendant plus de cinq cents ans, ils ont au moins su maintenir leur identité confessionnelle et culturelle, grâce à une religion officielle, le Christianisme, et à un alphabet spécifique qui garantit la pérennité de leur langue.
Le XXe siècle porte l’empreinte tragique du génocide, perpétré par le gouvernement jeune-turc en 1915, qui accélérera le processus diasporique.
Le début du troisième millénaire, avec la reconnaissance de cette extermination en France par une loi de la République française en 2001, suscite à nouveau l’espoir des Arméniens.
Œuvre d’une équipe internationale d’universitaires de renom, l’Histoire du peuple arménien prend en compte l’importance décisive de ce dernier quart de siècle, ce qui fait de ce livre la seule étude exhaustive publiée en langue française.
« Vieille nation, mais jeune Etat », le peuple arménien, vieux de trois millénaires, a vu son indépendance restaurée en 1991 à la suite de l’implosion de l’Union soviétique.

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A l'issue de la table ronde « La France et l’Arménie entretiennent une relation exceptionnelle »

Essai
Paru en juin 2007

couverture de l'évènement

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Henry Cuny

Dédicaces d'auteurs

Ecrivain, ses romans ont été couronnés de plusieurs prix littéraires et l'Académie Française lui a décerné en 2004 le Grand Prix de la Francophonie pour l'ensemble de son oeuvre.

Ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration (promotion "Pierre Mendès France") et membre fondateur du groupe d'études et de recherches sur la stratégie soviétique de la Fondation pour les études de défense nationale (1979-1981). Henry Cuny a notamment été conseiller culturel et chef des services culturels et scientifiques en URSS, cinq ans ambassadeur en Arménie puis en Slovaquie pendant quatre ans. Il a obtenu en 2004 le Grand Prix de la francophonie de l'Académie française pour l'ensemble de son oeuvre.

Arménie, l’âme du peuple
« On ne naît pas Arménien. On se reconnaît peu à peu comme tel, parce qu’on a, au fond du coeur, un souvenir d’Eden qui continue à fleurir, plus vivace jusqu’au dernier souffle que le vert paradis des amours enfantines. L’arménité réside dans le dépassement des apparences. Si elle n’était dictée que par le sang, elle aurait depuis longtemps été submergée par le sang. L’arménité me paraît être plutôt une démarche millénaire de l’intelligence. », Henry Cuny

La mort n’existe pas, Mémoires imaginés de Komitas
Considéré comme l’un des plus grands génies du peuple arménien et comme le fondateur de la musique classique arménienne,
Komitas, né Soghomon Soghomonian (1869-1935), tout à la fois prêtre, chanteur, interprète et compositeur apprécié des plus grands parmi ses contemporains, notamment de Debussy, est à lui seul le symbole de la foi, de la culture, de la mémoire et du drame d’une nation dont les meurtrissures de l’histoire ont essaimé les héritiers aux quatre coins du monde. Les événements tragiques du Haut-Karabagh viennent de les raviver.

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A l'issue de la table ronde "l'Arménie, sujet de la littérature en France"

Arménie, l'âme du peuple
Récit
Paru en février 2016

La mort n'existe pas
Roman
Paru le 18 août 2021

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Henry Cuny

Dédicaces d'auteurs

Ecrivain, ses romans ont été couronnés de plusieurs prix littéraires et l'Académie Française lui a décerné en 2004 le Grand Prix de la Francophonie pour l'ensemble de son oeuvre.

Ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration (promotion "Pierre Mendès France") et membre fondateur du groupe d'études et de recherches sur la stratégie soviétique de la Fondation pour les études de défense nationale (1979-1981). Henry Cuny a notamment été conseiller culturel et chef des services culturels et scientifiques en URSS, cinq ans ambassadeur en Arménie puis en Slovaquie pendant quatre ans. Il a obtenu en 2004 le Grand Prix de la francophonie de l'Académie française pour l'ensemble de son oeuvre.

Arménie, l’âme du peuple
« On ne naît pas Arménien. On se reconnaît peu à peu comme tel, parce qu’on a, au fond du coeur, un souvenir d’Eden qui continue à fleurir, plus vivace jusqu’au dernier souffle que le vert paradis des amours enfantines. L’arménité réside dans le dépassement des apparences. Si elle n’était dictée que par le sang, elle aurait depuis longtemps été submergée par le sang. L’arménité me paraît être plutôt une démarche millénaire de l’intelligence. », Henry Cuny

La mort n’existe pas, Mémoires imaginés de Komitas
Considéré comme l’un des plus grands génies du peuple arménien et comme le fondateur de la musique classique arménienne,
Komitas, né Soghomon Soghomonian (1869-1935), tout à la fois prêtre, chanteur, interprète et compositeur apprécié des plus grands parmi ses contemporains, notamment de Debussy, est à lui seul le symbole de la foi, de la culture, de la mémoire et du drame d’une nation dont les meurtrissures de l’histoire ont essaimé les héritiers aux quatre coins du monde. Les événements tragiques du Haut-Karabagh viennent de les raviver.

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Arménie, l'âme du peuple
Récit
Paru en février 2016

La mort n'existe pas
Roman
Paru le 18 août 2021

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Corinne Zarzavatdjian & Richard Zarzavatdjian

Dédicaces d'auteurs

Corinne Zarzavatdjian est une auteure et comédienne d’origine arménienne. Richard Zarzavatdjian est un journaliste à France télévisions et chroniqueur Santé sur France 2.

Pour les Zarzavatdjian, sauvegarder la tradition était une question de survie. Car les grands-parents de Corinne et Richard ont fui le génocide arménien commis par l’Empire ottoman en 1915. Le grand-père Garabed, à son arrivée en France, commence par un travail de mineur à Gardanne et devient chef d’entreprise dans le sentier parisien. « Ils ont été Français sans oublier leur identité arménienne. Parler la langue, respecter les traditions, cuisiner arménien, dans notre famille tout ceci était le trait d’union entre les générations », se souvient Richard.

L'Arménie et les Arméniens de A à Z
La communauté arménienne en France est forte de plus de 600 000 Français répartis dans les grandes métropoles. C’est l’histoire de cette communauté, que ce soit en France ou à l’étranger, sa culture, son patrimoine, son rôle et son empreinte à travers les siècles, que les auteurs nous font découvrir au fil des pages. Leur histoire familiale marquée par l’exode ayant suivi le génocide de 1915, qui est celle de la majorité des Arméniens, ressemble à une fresque, rythmée d’images, de couleurs, d’événements et de péripéties, transmise par leurs parents et grands‑parents.

La cuisine d'Arménie
C'est dans les cahiers de recettes de leur mère que Corinne et Richard Zarzavatdjian se sont plongés pour regrouper ces recettes de cuisine arménienne traditionnelles, qui ont la saveur de leur enfance, des racines et de la famille. Voyagez avec eux dans le temps grâce aux saveurs simples et chaleureuses de cette cuisine arménienne, à la fois rustique et parfumée : aubergines, huile d'olive, fromage frais, agneau, petits légumes du jardin se mêlent joyeusement pour composer des plats aussi délicieux qu'authentiques. Ces recettes conviviales et faciles à réaliser sont ponctuées d'anecdotes et d'astuces pour un voyage vivant au coeur de l'Arménie d'hier et d'aujourd'hui. Le livre est préfacé par André Manoukian.

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  • Date : Samedi 26 mars, 14h-18h
  • Durée : 4h00
  • Genre : DÉDICACES D'AUTEURS
  • Lieu : Espace culturel Leclerc
  • Prix : Gratuit

L'Arménie et les Arméniens de A à Z
Beau livre
Paru le 5 novembre 2020

La cuisine d'Arménie
Recettes arméniennes
Paru le 19 octobre 2017

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crédit photo : © DR

Ian Manook

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Patrick Manoukian, né à Meudon le 13 août 1949, est un journaliste, éditeur et écrivain français sous les pseudonymes de Ian Manook, Paul Eyghar, et Roy Braverman.

Ian Manook (de son vrai nom Patrick Manoukian) est un journaliste, éditeur et écrivain.
Grand voyageur dès l'âge de 16 ans, il parcourt les États-Unis et le Canada pendant 2 ans.
En 1987, il crée deux sociétés : Manook, agence d'édition spécialisée dans la communication autour du voyage, et les Éditions de Tournon qui prolongent son activité d'éditeur pour la jeunesse (Denver, Tortues Ninja, Beverly Hill, X-Files.).
Patrick Manoukian a écrit en 1978 pour les éditions Beauval deux récits de voyage : "D'Islande en Belize" et "Pantanal". Il a également signé les scenarii de trois BD d'humour aux Éditions Semic et chez Hugo & Cie.
Il a reçu le Prix Gulli 2012 pour son roman "Les Bertignac - Tome 1 : L'homme à l'oil de diamant" signé sous le nom de Paul Eyghar.
Sous le pseudonyme de Ian Manook, il écrit "Yeruldelgger" (2013), un polar qui se passent en Mongolie et qui remporte le Prix SNCF du polar 2014, puis "Les temps sauvages", suite des aventures de l'inspecteur Yeruldegger, (2015). En 2021, il publie "L'oiseau bleu d'Erzeroum", l’odyssée tragique et sublime de deux petites filles rescapées du génocide arménien.

L'oiseau bleu d'Erzeroum
Arménie, 1915. Araxie, 10 ans, et sa petite soeur Haïganouch, 6 ans, échappent aux massacres perpétrés par les Turcs. Elles sont vendues comme esclaves à Alep puis séparées. L'une poursuit sa route en France où elle épouse Haigaz, Arménien révolutionnaire, tandis que l'autre devient poétesse, exilée en URSS. Une saga historique et familiale jusqu'en 1939.

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  • Date : Samedi 26 mars, 9h-12h
  • Genre : DÉDICACES D'AUTEURS
  • Lieu : Librairie Lacoste
  • Prix : Gratuit

Roman
Paru le 7 avril 2021

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crédit photo : © DR

Ondine Khayat

Dédicaces d'auteurs

Née en 1974, Ondine Khayat est d’origine libanaise, arménienne et française. Impliquée dans des causes humanitaires, elle est également auteur de plusieurs romans.

Ondine Khayat est écrivaine et psychothérapeute.
Née d’une mère française et d’un père libanais et arménien, elle vit à Paris.
Elle travaille sur plusieurs projets, notamment un projet de loto mondial humanitaire, "Parions pour un Monde Meilleur", soutenu par huit ONG : Care, Aides, WWF, la Chaîne de l'Espoir, Terre des Hommes, Intervida, l'AFXB et SOS Sahel.

Le parfum de l'exil
Taline, 37 ans, est créatrice de parfums dans l'entreprise fondée par Nona, sa grand-mère.
Après sa mort, Taline découvre un carnet ayant appartenu à son arrière-grand-mère, Louise. Cette dernière était âgée de 14 ans en 1915, au début du génocide arménien au cours duquel elle a tout perdu. Taline, aidée d'Anton, un journaliste d'origine arménienne, tente de reconstituer son histoire.

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  • Date : Samedi 26 mars, 9h-12h
  • Genre : DÉDICACES D'AUTEURS
  • Lieu : Librairie Lacoste
  • Prix : Gratuit

Roman
Paru le 14 avril 2021

couverture de l'évènement

crédit photo : © DR

Jean Sirapian (Jan Varoujan)

Dédicaces d'auteurs

Jean Sirapian est né à Istanbul en 1945. Il étudie les sciences économiques et humaines à l'université américaine de Robert College. Installé en France depuis 1970, il est le directeur d'une société d'informatique et d'édition multimédia.

Observateur engagé de la vie politique française depuis 1976, il participe à des différentes campagnes électorales, locales et nationales. Il a été élu conseiller municipal d'Alfortville entre 1995 et 2001. Président de l'ADL France (Organisation Arménienne Démocrate Libérale) de septembre 1999 à septembre 2004, il a occupé le poste du vice-président du CCAF (Conseil de Coordination des organisations Arméniennes de France) entre novembre 2001 et novembre 2002. Il enseigne la communication politique et la géopolitique à l'école internationale d'audiovisuel EICAR, à Paris. Président fondateur de l'Institut Tchobanian en 2004 - un centre de recherche géopolitique sur la Turquie, le Sud-Caucase et le Moyen Orient - il dirige la revue "Europe & Orient". Directeur des Éditions Sigest, qui ont reçu le Prix du "Meilleur Éditeur" au Festival national du livre arménien.

Mission spéciale : Némésis
L’histoire officielle de l’exécution de Talaat Pacha est connue à travers le procès qui s’est déroulé les 2 et 3 juin 1921 à Berlin.
À la lecture des minutes du procès on apprend qu’un jeune homme de 24 ans, Soghomon Tehlirian, ayant des crises d’épilepsie et des hallucinations, voit un jour de mars 1921 Talaat Pacha sortir de sa maison située sur la rue Hardenberg, à Berlin. Tehlirian prend son pistolet, descend dans la rue, suit Talaat et l’abat, à bout portant, avec une balle dans la tête.
Pendant tout le procès il prétend avoir agi seul, pour venger sa famille en exécutant celui qu’il considère comme le responsable des massacres de ses parents, mais aussi de tout un peuple.
Or les archives de l’Institut Zoryan et celles du parti FRA-Tachnagtsoutioun révèlent une toute autre histoire. On saura plus tard que Tehlirian était à Berlin, chargé d’une mission spéciale, (Hadoug Kordz), nom de code Némésis...

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  • Date : Samedi 26 mars, 10h-12h & 14h-15h
  • Genre : DÉDICACES D'AUTEURS
  • Lieu : Librairie Bulle d'encre
  • Prix : Gratuit

BD / Essai
Paru en mars 2014

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crédit photo : © Pierre Gayte

Anaïd Demir

Dédicaces d'auteurs

Journaliste, critique d’art et commissaire d’exposition, Anaïd Demir écrit pour des catalogues d’art et a collaboré à de nombreuses publications dans la presse artistique (Le Journal des Arts, The Art Newspaper, Beaux-Arts Magazine, L’oeil…). Elle a également été journaliste pour Radio Nova et Direct 8. Elle est coauteure de l’unique monographie du cinéaste coréen Kim Ki-duk.

De 2001 à 2007, elle est chargée de l'art contemporain à la rédaction du Journal des Arts, ensuite elle assure la rédaction en chef de Be Contemporary (2007-2009). Elle a, à ce jour, rédigé une dizaine de monographies de jeunes artistes et a été à plusieurs reprises commissaire d'exposition pour La Blanchisserie à Boulogne, en 1999 et 2005, et co-commissaire pour Global Tekno, La Beauté en Avignon. Elle a réalisé une douzaine de reportages télévisés faisant chacun le portrait artistique d'une grande ville du monde et assure des chroniques artistiques sur les ondes de Radio Nova.

Maison-mère
À travers le récit littéraire et poétique d’une famille française d’origine arménienne affleurent les questions d’immigration, de transmission, mais aussi de déterminisme social, ainsi que celles du choc culturel entre Orient et Occident, des rapports hommes-femmes, mais aussi les chrétiens d’Orient.
Ce récit sonne comme un retour à la matrice, aux origines, arméniennes ici, à l’enfance. Un retour à la « maison » au sens le plus symbolique du terme, au coeur d’une labyrinthique et étouffante demeure familiale dans laquelle la narratrice se voit contrainte d’emménager après un héritage. Un conglomérat d’espaces, de chambres, de corridors… dans lequel elle déambule, comme en apnée, au sein de visions qui la renvoient indéfiniment à son passé, essentiellement les années 80. Les pièces de la maison deviennent peu à peu comme les pièces d’un puzzle dont chaque morceau représente une part de son identité morcelée.
Qui sont les Arméniens, ce peuple encore relativement méconnu dont les racines remontent six siècles avant Jésus-Christ ? À travers des prénoms, des lieux, des chants et des danses, des coutumes ancestrales, des légendes du Caucase ou d’Anatolie peuplées de héros bibliques, de dieux et de déesses ou de simples troubadours nous apparaît tout un monde. Quant au génocide de ce peuple perpétré dans l’Empire ottoman en 1915, il est abordé d’un point de vue psychologique, comme le point de départ d’un chaos interne, déteignant sur toute une lignée à travers les âges.
Une intrigue, sous la forme d’une chasse au trésor aussi : il s’agit de retrouver une photographie et de renouer avec le passé pour mieux se projeter dans l’avenir.

portrait de l'intervenant

Anaïd Demir

Critique d’art et commissaire d’exposition, Anaïd Demir écrit pour des catalogues d’art (Musée Picasso, Musée des Arts Décoratifs, Beaux-Arts de Paris, centres d’art…) et a contribué à de nombreux média (Le Journal des Arts, Art Newspaper, Beaux-Arts Magazine, Photo, L’Officiel Art, Jalouse, Nova Radio, Direct 8…). Membre de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art), elle organise régulièrement des expositions thématiques tout en participant à différents jury en école d’art ou pour des Prix. Elle est également auteur de récits ancrés dans le champ de l’art comme Le dernier jour de Jean-Michel Basquiat (2010, Ed.Anabet), Joconde intime (Ed. Léo Scheer-Laureli, 2011) ou sa série Conversations post-mortem qui met en scène des artistes et personnages d’outre-tombe.  Maison-mère, son dernier roman vient de paraître aux Editions Plon (février 2022) alors que son prochain ouvrage, L’entrée des femmes à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris est en cours d’élaboration pour une parution en Septembre 2022. Par ailleurs, elle enseigne une « Histoire de l’art au féminin » et a dirigé un atelier d’écriture appliqué à la critique d’art à l’IESA-Arts & Culture à Paris. 

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Maison-mère
Roman
Date de parution : 10 février 2022

couverture de l'évènement

crédit photo : © DR

Gérard Chaliand

Dédicaces d'auteurs

Gérard Chaliand est un géostratège et aventurier français d'origine arménienne. Spécialiste des questions politiques et stratégiques du tiers-monde, Gérard Chaliand a passé plus de vingt ans dans quelque 75 pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique, d'où il a tiré une série d'analyses, de reportages, d'enquêtes et d'essais.

Homme de terrain avant tout, il a été à la rencontre de plusieurs mouvements de libération nationale - algérien, vietnamien, palestinien ou afghan -, pour appréhender leur lutte de l'intérieur.
Il a séjourné huit mois en Irak au cours des dernières années et a contribué à créer un centre de recherche stratégique à Kaboul en 2006.
Il a publié Guerres et civilisations chez Odile Jacob, une Anthologie mondiale de la stratégie chez Laffont-Bouquins et Voyage dans 40 ans de guérillas chez Lignes de repères.
Il est l'auteur, entre autres, de Géopolitique des empires, coécrit avec Jean-Pierre Rageau et édité chez Flammarion, ainsi que du Nouvel art de la guerre, publié aux éditions de L’Archipel.
Ses derniers ouvrages, La pointe du couteau et L’impasse afghane, sont parus chez Robert-Laffont et L'Aube, en 2012 et 2011.

Le savoir de la peau
" Un des meilleurs géostratèges contemporains. Clair, direct, lucide, très expérimenté, original, il est à la fois engagé et rigoureux. " Hubert Védrine
" J'ai participé, dans la mesure de mes moyens et de la façon qui me convenait le mieux, à l'histoire de mon temps. J'étais présent partout où j'ai pensé qu'il fallait l'être et je devrais ajouter que j'y ai pris plaisir, bien que ce terme ne rende pas compte du caractère tragique de ce que j'ai observé.
Qu'ai-je cherché au cours de ces traversées du monde ? L'aventure, sans l'ombre d'un doute, l'action, le risque. Des échanges par-dessus tout, l'amour, l'amitié... Tout cela formait un tout, où le savoir de la peau, acquis sur divers fronts, se transformait en expérience à partager.
"Homme de terrain, Gérard Chaliand a été, au cours du demi-siècle écoulé, un observateur-participant des guérillas d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine. Il a enseigné à Harvard, Berkeley, UCLA, ainsi qu'à l'Ena et à l'École de guerre, tout en menant sa vie librement.Faisant suite au premier volet de ses mémoires (La pointe du couteau, Robert Laffont, 2011), ce récit relate l'itinéraire d'un irrégulier, ses enquêtes et ses expériences de terrain à travers l'histoire mouvementée des quatre dernières décennies.

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Le savoir de la peau
Essai
Date de parution : 10 mars 2022

couverture de l'évènement

crédit photo : © Astrid di Crollalanza

Marina Dédéyan

Dédicaces d'auteurs

De cet héritage, Marina Dédéyan a sans doute tiré en grande partie sa vocation de romancière. Le souffle de ses ouvrages ainsi que leur qualité historique ont conquis un lectorat fidèle.

D’origine arménienne et russe, Marina Dédéyan a été élevée au sein d’une famille quelque peu bousculée par l’Histoire et nourrie d’histoires. Ses ancêtres, amoureux de la littérature française, ont fondé au milieu du XIXe siècle une maison d’édition à Smyrne pour traduire et faire connaître aux Arméniens les chefs d’œuvre de Victor Hugo, Dumas, Lamartine, Chateaubriand et autres grands écrivains, contribuant ainsi à la création d’un arménien littéraire. De cet héritage, Marina Dédéyan a sans doute tiré en grande partie sa vocation de romancière. Le souffle de ses ouvrages ainsi que leur qualité historique ont conquis un lectorat fidèle.

Moi, Constance, princesse d’Antioche – Stock
1130. Au cœur de l'hiver, le destin de Constance, la jeune princesse d'Antioche, petite-fille du roi Baudouin II de Jérusalem et de la reine arménienne Morfia, bascule lorsque son père, tombé dans une embuscade, est décapité par les Sarrasins. Maltraitée par sa mère, elle grandit, solitaire, à l'écart de cette couronne dont elle est l'héritière jusqu'au jour où elle est donnée en mariage à un chevalier poitevin d'un quart de siècle son aîné, Raymond de Poitiers. Elle a tout juste neuf ans. Au milieu des terribles luttes qui déchirent le Moyen-Orient - offensives turques, revendications byzantines, ambitions du roi de Jérusalem - que pèse le bonheur d'une enfant ? Mais le cœur se joue parfois des intrigues des puissants, amis ou ennemis. Racontée par Constance elle-même, une étonnante histoire d'amour qui nous plonge dans l'univers des Croisades.

De Tempête et d’espoir – Saint-Malo et Pondichéry – J’ai Lu
A l’automne 1761, Anne de Montfort, orpheline bretonne désargentée, apprend la disparition de son frère Jean, sa seule famille, quelque part aux Indes, dans la guerre qui oppose la France à l’Angleterre. Avec l’aide de son cousin René-Auguste de Chateaubriand, armateur respecté parmi les messieurs de Saint-Malo, elle met tout œuvre pour gagner Pondichéry. Là-bas, elle est accueillie par des négociants arméniens qui mettent leur puissant réseau à son service, afin qu’elle puisse poursuivre sa quête à travers ces terres immenses.

Là où le crépuscule s’unit à l’aube – Robert Laffont
Dans cette fresque russe, Marina Dédéyan explore la mémoire familiale pour retracer l’histoire de ses arrière-grands-parents au tournant du XXe siècle, entre grandeur d’avant-guerre et tourmente révolutionnaire. Figures de la bonne société germano-russe, ses aïeuls ont croisé les pas de nombreuses personnalités de leur époque, Lou Andreas-Salomé, Eugène Fabergé, Emanuel Nobel, Vaslav Nijinski et bien d’autres encore. En ressuscitant le passé, la romancière livre ses découvertes et ses interrogations au travers d’anecdotes troublantes qui ont ponctué sa quête.

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couverture de l'évènement

crédit photo : © DR

Tigrane Yégavian

Dédicaces d'auteurs

Infatigable voyageur et arpenteur de l'Arménie, ce journaliste de la diaspora a pris le temps de goûter à des rencontres et des chemins de traverse, pour mieux nous faire partager ses passions arméniennes.

Titulaire d’un Master en politique comparée spécialité Monde Musulman à Sciences Po Paris et d’une licence d’arabe à l’INALCO, il est co-auteur de Moyen Orient 2013, bilan géopolitique (Éditions du Cygne) ainsi que de l’Atlas géopolitique mondial 2013 paru aux Éditions Argos. Il collabore régulièrement pour le site Le Fait religieux, les revues Moyen-Orient, Conflits et Carto ainsi qu’au mensuel France-Arménie sur les questions ayant trait aux minorités du Moyen-Orient, au Caucase, la Turquie et à la diaspora arménienne.

Géopolitique de l'Arménie
En 2020, une guerre fait perdre à l'Arménie une partie de l'enclave du Haut-Karabagh, passée aux mains de l'Azerbaïdjan appuyé par une coalition hétéroclite menée par la Turquie. Analysant les causes de cette défaite, le journaliste montre que cette nation sans tradition étatique doit désormais survivre dans un environnement géopolitique hostile et réinventer sa relation à une diaspora influente.

Diasporalogue
Que sait-on finalement de l’histoire des Arméniens de France ? Comment vivent-ils leur double appartenance au sein de la République ? Quels sont les débats qui les passionnent et les défis auxquels ils font face ? Pour la première fois deux générations de Français d’origine arménienne engagent à bâtons rompus un dialogue pour aller au-delà des clichés en partageant ce qui les a construits dans leurs métiers respectifs : le cinéma et le théâtre pour l’un, le journalisme pour l’autre. Faut-il céder à l’assimilation perçue comme inexorable ? Ou bien faut-il veiller à revoir les mécanismes de la transmission, sans diluer l’héritage ? Tous deux sont d’avis qu’il est possible de se penser historiquement comme duel et héritier de cultures en dialogue permanent. De ce dialogue jaillit un échange vivant où le témoignage des vécus respectifs cède progressivement la place à une réflexion sur les grands enjeux d’une diaspora en pleine mutation.

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A l'issue de la table ronde "La diaspora arménienne en France et dans le monde"

Géopolitique de l'Arménie
Essai
Date de parution : janvier 2022

Diasporalogue
Essai
Paru le 10 novembre 2017

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