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EXPOSITIONS & Vernissages

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vernissages

couverture de l'évènement

crédit photo : © DR

Vernissage de l'exposition "Le cri du silence" d'Antoine Agoudjian

Soirée d'ouverture du festival

Le vernissage sera suivi du concert d'ouverture avec Ladaniva

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Vernissage des expositions Toros et Paradjanov

Toros et Paradjanov

Vernissage des expositions
Toros et Paradjanov

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  • Date : Mardi 22 mars, 20:00
  • Public : Tout public
  • Genre : VERNISSAGE
  • Lieu : Musée Despiau Wlérick
  • Prix : De 1€ à 2€


Réservation : sur place au Musée Despiau Wlérick

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Vernissage de l'exposition MENK

Vernissage de l'exposition

MENK

Le commissariat de cette exposition collective MENK a été confié au peintre Guillaume Toumanian arménien du côté paternel et landais côté maternel. Une scénographie imaginée par l’architecte Michel Mossessian permettra de parcourir ces différents univers au Centre d'Art Contemporain des Landes avec une sélection des œuvres de Pascal Convert, Mélik Ohanian, Julien Lombardi, Alexis Pazoumian, Atam Rasho, Pascaline Marre, Vahan Soghomonian, Clément Carat, Edouard Wolton, Taline Zabounian, Alex Besikian, Raphaël Tachdjian, Chloé Mossessian, Rebecca Topakian, Araks Sahakyan, Camille Levêque, Pierre Aghaikian, Guillaume Toumanian, les artistes arméniens en résidence Tigran Sahakyan et Arman Vahanyan. Performance / création solo dansé le soir du vernissage Consensus & Aline Derderian.

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  • Date : Mercredi 23 mars, 18:00
  • Public : Tout public
  • Genre : VERNISSAGE
  • Lieu : Centre d'Art contemporain
  • Prix : Entrée libre le soir du vernissage

Réservation : sur place au Centre d'Art contemporain

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Vernissage de l'exposition "Hayastan, pensées d'Arménie" de GAËLLE HAMALIAN TESTUD

Exposition photographique

Vernissage itinérant de l'exposition Gaëlle Hamalian-Testud

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Née en 1965, Gaëlle Hamalian Testud vit à Bordeaux où elle mène depuis plus d'une vingtaine d'années son travail dans la photographie humaniste, documentaire et de paysages. Ses reportages réalisés dans le monde et notamment en Arménie ont donné lieu à plusieurs expositions en France.
En 2015, elle a exposé des photographies issues d'un reportage sur l'Arménie "Hayastan, pensées d'Arménie" qui est également le titre de son dernier ouvrage. C'est cette exposition qu'elle nous propose de découvrir lors de sa venue à Mont de Marsan à l'occasion du Festival Yeraz.

EXPOSITIONS

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"Hayastan, pensées d'Arménie" de GAËLLE HAMALIAN TESTUD

EXPOSITION DE PHOTOGRAPHIES

Photographe française d’origine arménienne, Gaëlle Hamalian-Testud a choisi ce moyen d’expression depuis une trentaine d’années, dans le sillage de la photographie humaniste et du paysage.

Elle a longtemps proposé des ateliers de médiation artistique à Bordeaux, auprès de jeunes en difficulté scolaire et sociale. Son regard sur le quotidien de femmes et d’hommes au Japon, au Vietnam, au Mexique, en Arménie a donné lieu à plusieurs expositions, notamment au Musée d’Aquitaine à Bordeaux. Trois ouvrages photographiques ont été publiés. Elle a fait de nombreux reportages pour l’Opéra National de Bordeaux particulièrement axés sur l’envers du décor. Récemment, ses photographies ont illustré l’évènement «Dialogue 21» soutenu par l’Unesco sur le thème de la pluralité des cultures. Elle coréalise actuellement un film documentaire franco-arménien.

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Exposition photographique

Entrée libre

Vernissage le jeudi 24 mars 2022 à 18h

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crédit photo : © Pascal Maguesyan

« LE CHEMIN DE GUIRAGOS » de Pascal Maguesyan, auteur-photographe

EXPOSITION DE PHOTOGRAPHIES

Pascal Maguesyan a crée une exposition intitulée « LE CHEMIN DE GUIRAGOS », avec Jacques Avakian.

Il s'agit d'un triptyque iconographique dans lequel les auteurs explorent la destruction de la civilisation arménienne de l'Empire ottoman en 1915, révèlent le combat pour la justice mené par les démocrates turcs, et illustrent le rêve interdit d'une nation déracinée. Cette exposition est aussi un hommage aux victimes sans sépulture, une ligne de vie tendue entre un passé nié et un avenir à inventer.

Première partie - CHARNIERS DE PIERRES : Le génocide des Arméniens se caractérise par la destruction d’une Nation et de sa civilisation dans son berceau géographique. Avant 1915, on recensait plus de 2350 églises, monastères et monuments arméniens dans les provinces orientales de l'Empire. Ils ont presque tous été détruits, confisqués, dégradés. Il n’en reste bien souvent que des « charniers de pierres ».
Deuxième partie - ISTANBUL COMPASSION : Malgré le négationnisme d'État, des milliers de personnes ont commémoré le 24 avril 2015, à Istanbul, le centenaire du génocide des Arméniens, des Syriaques et des Chaldéens. Qui aurait pu imaginer voir et entendre des Turcs, des Kurdes, des Syriaques, des Alévis et des Arméniens du monde entier, revendiquer ensemble haut et fort la vérité et la justice.
Troisième partie - LE CHEMIN DE GUIRAGOS : Depuis l'anéantissement des Arméniens, le sud-est de la Turquie est surtout peuplé de Kurdes qui comptent dans leur ascendance des milliers d’arméniennes kidnappées.

Cent ans après le génocide, Pascal Maguesyan a accompli une marche dans le sillon de l’histoire, là où les Arméniens, les Syriaques et les Chaldéens ont été exterminés. Dans son cheminement, Pascal a été rejoint par son ami Jacques Avakian, tels des pèlerins en quête d'avenir. C'est le chemin de Guiragos.

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Vernissage en attente de date

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"LE CRI DU SILENCE" D'ANTOINE AGOUDJIAN

Exposition Photographies

Antoine Agoudjian est un photographe français d’origine arménienne. À la suite d’un tremblement de terre en Arménie le 7 décembre 1988, il part pour deux années avec une ONG comme logisticien et interprète. Il commence ses premières images quand son travail d’aide humanitaire le lui permet.

Antoine Agoudjian, né en 1961, se consacre depuis plus de 30 ans à la photographie.

Ancien membre de l’agence Rapho, ses rencontres décisives, notamment avec Robert Doisneau et Robert Delpire, inscrivent son travail dans le courant de la photographie Humaniste. Son œuvre en noir et blanc est dédiée à la mémoire de l’histoire du peuple arménien. Couvrant les lieux historiques des conflits, Antoine Agoudjian construit une œuvre originale ou l’Histoire, sa trace et son écho brisent le silence imposé. Depuis 2015, l’introduction de la couleur dans son travail, avec la couverture des guerres en Irak, en Syrie et en Artsakh (Haut Karabach), témoigne d’une nouvelle étape dans son œuvre, passage de la mémoire du passé à l’histoire présente.

En 2011, il est le premier photographe, depuis le génocide de 1915, à avoir exposé dans une importante galerie sur le thème de la mémoire arménienne à Istanbul. Il expose pour le centenaire du génocide à Diyarbakir en Turquie. Il est le lauréat du Prix Public des Correspondants de guerre au festival de Bayeux en octobre 2017 et vient de recevoir officiellement un prix lors de la 33ème édition du festival international de photojournalisme « Visa pour l’Image » de Perpignan.

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Exposition photographique

Ouvert pendant tout le festival de lundi à dimanche, 9-12h / 14-17h + les soirs de spectacles

Vernissage le lundi 21 mars à 19h30

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crédit photo : © Zaven Sargsyan

"JE n'ai plus que le droit de rêver" de SERGUEÏ PARADJANOV

JE N'AI PLUS QUE LE DROIT DE RÊVER
Dessins et collages

Les dessins réalisés par Paradjanov en prison marquent un tournant dans sa carrière, caractérisé par la maîtrise remarquable du stylo bille et l’émergence d’un style graphique plus intime, plus intériorisé, plus sombre aussi, proche d’artistes de la tragédie grotesque des « petites gens » comme Ensor ou Rouault.

Grâce à un partenariat scientifique entre le musée Despiau-Wlérick et le Musée Paradjanov d’Erevan, cette exposition proposera au public un ensemble d’œuvres issues du riche fond du musée Paradjanov, dont plusieurs seront présentées pour la première fois en France. Une sélection de ses collages les plus remarquables permettra au public néophyte d’apprécier cet aspect plus flamboyant et baroque de son œuvre plastique, mais l’exposition mettra surtout l’accent sur un ensemble d’œuvres graphiques moins connues, créées au cours de ses années d’internement en camp d’internement à régime sévère de 1974 à 1977, puis après sa libération, lorsqu’il imagine des images et des films qu’on lui interdit de réaliser. Cette sélection inédite permettra de proposer de nouvelles perspectives sur le travail plastique et filmique de Paradjanov.
Les dessins réalisés par Paradjanov en prison marquent un tournant dans sa carrière, caractérisé par la maîtrise remarquable du stylo bille et l’émergence d’un style graphique plus intime, plus intériorisé, plus sombre aussi, proche d’artistes de la tragédie grotesque des « petites gens » comme Ensor ou Rouault. En prison comme en liberté, Paradjanov, crée avec ce qu’il trouve, mais les ressources sont rares derrière les barbelés du camp. Alors, avec l’ongle du pouce, il sculpte au repoussé dans les capsules en aluminium de ses bouteilles de lait, de délicats portraits en relief qui rappellent les médaillons orfévrés ornant la couverture des manuscrits enluminés des monastères Arméniens. La modestie des matériaux, leur rareté, leur petites dimensions, poussent Paradjanov à travailler avec une délicatesse inouïe qui transforme chaque déchet en trésor. Après sa sortie de prison, cette tendance d’alchimiste à transcender le rebus marquera chacun de ses dessins et collages.
La contrainte de l’environnement carcéral marque aussi un tournant dans son approche du dessin. Avec un sens exquis du détail, Paradjanov trace de fines saynètes miniatures sur des supports improvisés : papiers déchirés, emballages, mouchoirs en tissus, boîtes d’allumettes. Obsèdé par le cadre, il entoure ses dessins de délicats encadrements réalisés par assemblages de bouts de ficelles, de morceaux de fils de fer et de minuscules fleurs séchées arrachées au bitume.
Emprisonné, Paradjanov est un cinéaste à qui on interdit de réaliser : dans les suites de minuscules dessins au stylo-bille réalisés sur des fonds de boîtes d’allumettes - ses « timbres » comme il les appelle - on voit se mettre en place un approche méthodique de la série qu’il conservera jusqu’à la fin de sa carrière...Lui qui n’a plus, pour dessiner, que des « bics » et des bouts de papier, redouble d’inventivité et exerce avec une ferveur militante le seul droit qu’il lui reste : celui de rêver ses images.

Libéré en 1977, Paradjanov survit dans la maison familiale de Tbilissi en vendant des objets personnels et grâce à ses voisins et amis. L’interdiction de filmer par le régime Soviétique, qui durera plus de quinze ans, le prive du même coup de la sève de son existence et de son statut même de citoyen. Enterré vivant à Tbilissi, il se bat et pour assouvir son besoin de création et se lance à corps perdu dans la réalisation de collages, dessins, assemblages photographiques, exécutés à partir de fragments de livres, d’objets trouvés dans la rue, de verroterie. Sa maison devient un cabinet de curiosités aux murs vivants et mouvants, un petit théâtre personnel où Paradjanov se met en scène pour accueillir les intellectuels du monde entier, fascinés par la rencontre avec ce monstre d’imagination devenu son propre personnage.
La suite de l’exposition aborde l’évolution de sa pratique du dessin au cours des années dans cette nouvelle prison qui ne dit pas son nom : comment le dessin influence-t-il sa manière de penser ses images, d’imaginer le cinéma qu’il ne peut réaliser ? Le travail de la série en dessin est alors un moyen d’imaginer son cinéma, mais Paradjanov s’en empare aussi et surtout comme un médium entièrement indépendant par lequel il peut pleinement s’exprimer.

C’est particulièrement remarquable dans la série de dessins pour son ultime projet de film autobiographique, Confesssion. Les dessins qu’il exécute pour donner corps à ce projet sont marqués par la recherche d’une unité stylistique et esthétique qui vont bien au-delà du simple story board. Paradjanov expérimente les techniques graphiques, associant stylo-bille, feutre et collage. Le rythme et la composition des images, le choix de couleurs primaires volontairement irréalistes, marquent une véritable rupture avec l’esthétique soignée et les accumulations décoratives délicatement statiques vers laquelle son cinéma avait évolué avant la prison. Loin des célèbres plans fixes de Sayat Nova, les dessins de Confession sont marqués par des perspectives aiguës qui créent des profondeurs de champ artificielles et dérangeantes, des personnages en flottement dans le blanc du papier…C’est bien en dessinateur que Paradjanov pense d’abord cet ultime film. En 1983, après plusieurs années de mobilisation de la communauté internationale du cinéma, Paradjanov est finalement autorisé à filmer de nouveau. La Forteresse de Souram en 1984 et Achik Kerib en 1987 sont ses deux derniers chef d’œuvres. En 1988 Achik Kerib est présenté en première mondiale au Festival de Munich et Paradjanov, autorisé pour la première fois à sortir d’URSS, pour assister à cet hommage international à l’ensemble de son œuvre. Le tournage de Confession débute enfin en juin 1989 dans sa maison de Tbilissi, mais Paradjanov, dont les poumons ont été gravement affaiblis par ses années d’internement, est hospitalisé et rapatrié à Paris pour y être soigné. Son état empirant, il demande à rentrer à Erevan où il meurt le vendredi 20 juillet 1990.

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Exposition de dessins et collages

portrait de l'intervenant

Paradjanov

En plus de son œuvre de cinéaste, Paradjanov a réalisé plus de 800 collages, dessins et assemblages, dont la très grande majorité est conservée au sein du musée Serguei Paradjanov d’Erevan. Fondé en 1988, cette collection exceptionnelle rassemble ses œuvres plastiques et ses effets personnels, dans un esprit qui évoque la maison de Tbilissi. L’exposition au Musée Despiau-Wlérick sera accompagnée d’un important dispositif padagogique à destination de tous les publics : projections de films, ateliers, masterclass, conférences, se tiendront pendant toute la durée du festival Yeraz et au-delà.

  • Date : 22 mars › 19 juin
  • Durée : 3 mois
  • Public : Tout public
  • Genre : EXPOSITION
  • Lieu : Musée Despiau Wlérick
  • Prix : De 1€ à 2€

Ouvert du lundi au dimanche, de 9 à 19h pendant toute la durée du festival après le festival : ouverture mercredi-dimanche, 9-12h/14-18h.
Réservation : sur place au Musée Despiau Wlérick

Mardi 22 mars
Vernissage à 20h
Commissariat : Mathilde Lecuyer-Maillé, Serge Avédikian

Mardi 29 mars
17h : Visite guidée
18h : Projection Le Scandale Paradjanov (au musée - gratuit)
20h30 : Conférence de Serge Avédikian

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Exposition TOROS RAST-KLAN

Sculptures

Toros Rasguélénian, dit Toros Rast-Klan, est un sculpteur né à Alep, en Syrie, dans une famille arménienne rescapée du génocide de 1915. En 1962, au cours d’un voyage en Arménie Soviétique, il découvre la statue équestre de David de Sassoun installée devant la gare d'Erevan, qui est une révélation. De retour à Alep, il apprend avec succès la sculpture du métal. Après plusieurs expositions et prix, il part pour la France en 1967 et s’installe dans la région de Romans sur Isère, pour y poursuivre sa carrière de sculpteur.

Toros Rasguélénian, dit Toros Rast-Klan, nait à Alep, en Syrie, dans une famille arménienne rescapée du génocide de 1915. Sculpteur autodidacte, il choisit sa signature d'artiste, « R. Toros », en hommage à son oncle, mort brûlé dans une église en essayant de sauver trois cents enfants lors du génocide. Il quitte l’école à 11 ans et exerce divers métiers avant d’apprendre à travailler le métal : soudure, ferronnerie, dinanderie. À 25 ans, il crée sa propre entreprise de ferronnerie. En 1962, au cours d’un voyage en Arménie Soviétique, il découvre la statue équestre de David de Sassoun installée devant la gare d'Erevan, qui est pour lui une révélation. De retour à Alep, il apprend la sculpture du métal, réalise des fontaines et du mobilier, et, après plusieurs expositions, obtient en 1966 le premier prix pour une sculpture monumentale, L’Émancipation de la femme arabe, installée sur une place d'Alep. Encouragé par ses pairs, il part pour la France en 1967 pour y poursuivre des études artistiques et développer sa carrière de sculpteur. Il s'installe dans la région de Romans-sur-Isère où il rencontre des artistes et des intellectuels, qui le dissuadent d’entrer aux Beaux-Arts et poursuit donc son œuvre en autodidacte. Auteur d’un grand nombre de monuments installés en France à la mémoire des victimes du génocide arménien, Toros est le créateur du Trophée Toros, décerné chaque année à Marseille pour récompenser des écrivains franco-arméniens. Il meurt le 29 juillet 2020 à Romans-sur-Isère.

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Exposition de sculptures

  • Date : 22 mars › 19 juin
  • Durée : 2 mois
  • Public : Tout public
  • Genre : EXPOSITION
  • Lieu : Musée Despiau Wlérick
  • Prix : De 1€ à 2€

Ouvert du lundi au dimanche, de 9 à 19h pendant toute la durée du festival après le festival : ouverture mercredi-dimanche, 9-12h/14-18h.
Réservation : sur place au Musée Despiau Wlérick

Mardi 22 mars
Vernissage à 20h
Commissariat : Mathilde Lecuyer-Maillé, Serge Avédikian

Mardi 29 mars
17h : Visite guidée
18h : Projection Le Scandale Paradjanov (au musée - gratuit)
20h30 : Conférence de Serge Avédikian

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"Le génocide des arméniens", EXPOSITION ARAM

Exposition thématique sur le génocide des Arméniens

L’association ARAM propose une exposition thématique sur le génocide des Arméniens de 1915 et son histoire de 1894 à 1923. Simple et pédagogique, elle permet une approche approfondie pour le grand public.

L’exposition est élaborée autour d’un parcours historique avec des reproductions de documents originaux et de photographies légendées, issus du fonds documentaire de l’association.

L’exposition rappelle que les prémices du génocide remontent à 1894 avec les massacres du sultan Abdülhamid II, et ceux de 1909 en Cilicie.

C’est dans le contexte de la Première Guerre mondiale que le gouvernement des Jeunes -Turcs a mis en œuvre l’extermination massive et programmée des Arméniens. La déportation et les marches de la mort sont évoquées à travers le témoignage de survivants du génocide.

A la fin de la guerre, les rescapés trouvent refuge au Proche-Orient, aux Etats -Unis et en France, notamment à Marseille puis tout le long de la vallée du Rhône et en région parisienne.

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Exposition thématique

  • Date : 22 mars › 2 avril
  • Horaire : Horaires de la médiathèque
  • Public : Tout public
  • Genre : EXPOSITION
  • Lieu : Médiathèque du Marsan
  • Prix : Gratuit

Entrée libre

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EXPOSITION COLLECTIVE MENK

MENK - EXPOSITION COLLECTIVE

L’exposition met à l’honneur les œuvres d’une vingtaine d’artistes s’exprimant à travers différents médiums - peinture, sculpture, dessin, photographie, vidéo - comme une sorte d’identité plurielle alimentant le dialogue entre cultures, temporalités et expressions artistiques.

Cette exposition propose de parcourir l’énergie créative des différents artistes d’origine arménienne, arméniens (en résidence) et non arméniens issus pour la plupart de la scène artistique contemporaine française. Tous ont pour points communs ; cette arménité vécue ou rencontrée au cours des différentes trajectoires de chacun. Une expérience forte avec ce pays qui rend un hommage vibrant à l’Arménie et à tout un peuple. Menk en arménien se traduit Nous.

Le commissariat de cette exposition collective MENK a été confié au peintre Guillaume Toumanian arménien du côté paternel et landais côté maternel. Une scénographie imaginée par l’architecte Michel Mossessian permettra de parcourir ces différents univers au Centre d'Art Contemporain des Landes avec une sélection des œuvres de Pascal Convert, Mélik Ohanian, Julien Lombardi, Alexis Pazoumian, Atam Rasho, Pascaline Marre, Vahan Soghomonian, Clément Carat, Edouard Wolton, Taline Zabounian, Alex Besikian, Raphaël Tachdjian, Chloé Mossessian, Rebecca Topakian, Araks Sahakyan, Camille Levêque, Pierre Aghaikian, Guillaume Toumanian, les artistes arméniens en résidence Tigran Sahakyan et Arman Vahanyan. Performance / création solo dansé le soir du vernissage Consensus & Aline Derderian.

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Exposition d’art contemporain

  • Date : 23 mars › 28 mai
  • Durée : 2 mois
  • Public : Tout public
  • Genre : EXPOSITION
  • Lieu : Centre d'Art contemporain
  • Prix : Contribution libre à partir de 2€

Réservation : sur place au Centre d'Art contemporain

Vernissage le mercredi 23 mars 2022 à 18h

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